Un vagin artificiel, c’est maintenant possible


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Faire «repousser » un organe en laboratoire à partir des cellules du patient : le rêve de tout chirurgien est en train de devenir réalité, grâce aux progrès de la médecine régénérative. Après la trachée, l’urètre et la vessie, c’est au tour du nez et du vagin d’être implantés avec succès.

Ces deux innovations ont été présentées vendredi dans la prestigieuse revue médicale The Lancet. La première, sans doute la plus impressionnante, relate l’implantation de vagins «artificiels » chez quatre jeunes filles atteintes du syndrome de Rokitanski Kuster Hauser, une maladie congénitale rare caractérisée par l’absence partielle ou totale du vagin et de l’utérus.

Pour pallier cette malformation, des chercheurs américains et mexicains ont reconstitué l’organe manquant en laboratoire en quelques semaines. Ils ont d’abord prélevé sur les patientes, alors âgées de 13 à 18 ans, des cellules de la vulve qu’ils ont mises en culture puis réparties sur une grille en collagène mimant la forme d’un vagin. Cette structure a ensuite été implantée chez les jeunes filles dans une cavité formée pour l’occasion.

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Françoise Soros

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