Prévalence de l’incontinence chez les femmes sportives


La prévalence de l’incontinence urinaire dans le sport est importante. Les sports impliquant des changements de direction et des sauts répétés sont plus à risques. Il est recommandé d’apprendre aux athlètes féminines à mieux gérer l’activation de la musculature du plancher pelvien.

L’incontinence urinaire (UI) est définie par la Société internationale de la continence comme toute perte involontaire d’urine. Plus fréquent chez les femmes, avec une prévalence plus élevée à l’âge adulte, l’UI est une problématique dont les conséquences psychologiques peuvent être importantes (1-4).
Les athlètes constituent une population fortement touchée par ce dysfonctionnement du plancher pelvien. Le mécanisme de la continence peut être affecté par la force de réaction au sol, transférant les contraintes sur le plancher pelvien [5, 6]. De plus, l’absence de contraction des muscles du plancher pelvien lors d’exercices augmentant la pression intra-abdominale, ainsi que le mécanisme de la continence altéré par le sport, peuvent contribuer à l’apparition de l’UI [7].
Chez les athlètes, Bo [9] décrit deux hypothèses sur le dysfonctionnement du plancher pelvien associé à la pratique du sport : (1) les athlètes féminines ont une bonne musculature du plancher pelvien, mais en raison du fort impact de leur activité physique, leur pression intra-abdominale augmente, les prédisposant à l’apparition de l’UI ; (2) Les muscles du plancher pelvien des athlètes féminines sont surchargés, étirés et faibles en raison d’une augmentation de la pression intra-abdominale. La prévalence la plus élevée de l’assurance-chômage chez les praticiens de l’activité physique à impact élevé concerne les athlètes féminines d’élite, jeunes et nullipares [10].
Ainsi, il est connu que certains troubles de la miction peuvent être préexistants et que d’autres peuvent être exacerbés pendant le sport. Il est nécessaire d’accorder une attention particulière à cette population en cherchant à comprendre les facteurs déclenchant leurs symptômes urinaires. Il existe deux revues systématiques sur ce sujet dans la littérature.
Cependant, Almousa et al. [12] n’incluaient dans leurs recherches que des études sur les athlètes féminines nullipares et Bo [9] incluait des articles publiés jusqu’en 2001 concernant des athlètes féminines d’élite, ce qui justifie la réalisation d’une nouvelle étude avec des articles plus récents et un échantillon plus large. Telle est la pertinence de cette revue systématique dont l’objectif principal était d’identifier la prévalence de l’UI dans différents sports. L’objectif secondaire était d’évaluer la différence en termes de prévalence entre les athlètes et non-athlètes entre 2000 à 2016

Pour en savoir plus : lire l’article sur kinesport

Françoise Soros

Incontinence : une jeune femme témoigne


Anaïs souffre d’incontinence précoce. Comme elle, 15% des femmes de moins de 40 ans sont touchées par ce problème. Elle a accepté de témoigner à visage caché.

Une gêne quotidienne qui oblige à être constamment sur ses gardes. A 32 ans, Anaïs doit vivre avec des problèmes de fuites urinaires. Elle a souhaité témoigner à visage caché car l’incontinence est souvent considérée comme honteuse ou propre aux personnes séniles.

« C’est pas agréable. Je me dis qu’à 30 ans, ça n’est pas normal. »

Cependant, il lui tenait à cœur d’en parler. Cette mère de famille ne s’attendait pas à de telles contrariétés quelques temps après son deuxième accouchement.

Malgré 40 séances supplémentaires de rééducation du périnée, rien n’y a fait.

« Je n’ai pas envie de vivre avec ça, car je sais que plus ça va aller, plus ça va empirer »

Alors, en accord avec son gynécologue, Anaïs a décidé de se faire opérer. Un geste chirurgical existe pour mettre un terme à l’incontinence. Toutes opérations confondues, c’est l’une des plus efficaces, selon le chirurgien gynécologue Rémy Schmied. Elle consiste à placer une bandelette en dessous de l’urètre qui va le comprimer pour empêcher les fuites.

Voir la vidéo ci-dessous :
Une opération contre l’incontinence précoce chez les femmes

Les femmes premières concernées par l’incontinence
Les femmes sont plus concernées que les hommes par l’incontinence. Grossesse, accouchement, ménopause affectent leur corps. Comme Anaïs, certaines jeunes mères souffrent de ce qu’on appelle l’incontinence d’efforts. Cela veut dire qu’un éternuement, un rire ou faire du sport peut provoquer une fuite urinaire.

L’opération qu’a eu cette femme est dispensée par des chirurgiens gynécologues spécialistes ou par des urologues.

Source de l’article

Bonne lecture
Françoise

Vessie hyperactive, incontinence. Que faire ?


Brochure vessie hyperactive

« Il faut aborder le problème d’emblée sous tous ses angles. Ressentir à nouveau ses muscles, la force de son « plancher » mais aussi retrouver une autorité bienveillante sur sa vessie ».

Une sophrologue, associée à une sage-femme et un kiné, a développé une méthode globale pour faire face à la pollakiurie, à l’incontinence d’effort et d’urgence. 

Les problèmes de vessie concernent 1 femme sur 5 au-delà de 18 ans et 1 homme sur 2 à partir de 50 ans. Un vrai problème de société dont on ne parle que très peu. La partie émergée de l’iceberg est l’incontinence, souvent attribuée aux personnes âgées, ou encore les soucis de prostate chez les hommes qui peuvent avoir des mictions difficiles, même douloureuses, et parfois des fuites.

C’est un problème lourd et contraignant, que l’on ose peu confier. Pourtant, il est nécessaire d’en parler d’abord à son médecin, pour qu’il puisse écarter ou traiter une éventuelle pathologie. Marie-Pierre Charent est sophrologue. Elle aide des patients stressés à développer leurs propres ressources pour dépasser leurs problématiques. Et dans son cabinet, les langues se délient… Elle a ainsi rencontré des personnes désespérées par une vessie hyperactive, des fuites d’effort, urgences nocturnes, hypertrophie bénigne de prostate…

MISE AU POINT D’UNE METHODE GLOBALE

Tout a commencé avec une personne très proche, valide mais totalement découragée par une incontinence d’effort et d’urgence: la prise en charge a été fructueuse. Marie-Pierre Charent a peu à peu mis au point une méthode composée d’exercices originaux, qui font appel à la conscience musculaire, mais aussi au système nerveux et à la relaxation. « Il faut aborder le problème d’emblée sous tous ses angles. Ressentir à nouveau ses muscles, la force de son « plancher » mais aussi retrouver une autorité bienveillante sur sa vessie ».

Et pour que cette méthode profite à un maximum de personnes, elle a créé un site appelé « Corps Capable » qu’elle anime avec un kiné et une sage-femme. Sur ce site, les courtes vidéos et les exercices accompagnés visuellement , s’associent à des formations de type « Comment faire attendre sa vessie sans stress? » ou « Apprendre à se rendormir après un appel de la vessie »…

Pour en savoir plus sur cette méthode : vessie hyperactive, incontinence, urgence nocturne, que faire 

Portez-vous bien et à bientôt
Françoise Soros

Symposium : « L’énurésie chez l’enfant »


Si on estime que « l’énurésie (faire pipi au lit) n’est pas en soi une maladie », il n’en demeure pas moins que « la prise en charge dès le début » de ce problème pouvant avoir un retentissement important sur la vie familiale, scolaire et sociale de l’enfant est « fortement recommandée».
Il est normal que les jeunes enfants mouillent leur lit pendant la nuit.

Mais au-delà d’un certain âge, souvent à partir de cinq ans, âge où l’enfant aurait acquis la propreté corporelle, faire pipi au lit de manière fréquente peu constituer un sérieux problème requérant un suivi et une prise en charge adaptée. Souvent associée à des troubles psychologiques chez l’enfant résultant de différents facteurs, l’énurésie peut résulter également d’un problème physiologique nécessitant un suivi médical. Pour débattre de ces questions et autres avancées par la recherche scientifique dans le domaine de la prise en charge de l’énurésie, un symposium médical, initié par les laboratoires Ferring, a été organisé jeudi à Constantine au profit des pédiatres et pédopsychiatres de la région. Définie comme étant « la miction involontaire, complète, active et inconsciente pendant la nuit chez les enfants de plus de cinq ans », l’énurésie nocturne est, selon le professeur Bouderda, médecin au CHU de Constantine, un problème sérieux à prendre en charge dès le début ». Et ce, a-t-elle soutenu, même si « dans 15% des cas celle-ci se résorbe d’elle-même ». Selon les explications des participants à ce symposium, « si toutefois les causes de l’énurésie ne sont pas totalement comprises » et sont souvent associées par les parents « dans 80% des cas à des troubles d’ordre psychologique », il n’en demeure pas moins que la maladie peut résulter également d’un problème pathologique nécessitant une prise en charge médicale ». Aussi, il est fortement recommandé de consulter un spécialiste, car la maladie peut résulter d’une « combinaison de différents facteurs ». « Il est important de cerner l’histoire morale de l’enfant, parce que l’énurésie peut être la résultante d’un mauvais traitement, d’un traumatisme, d’un stress ou d’un changement de mode de vie à l’image d’un divorce », a estimé Mme Bouderda, notant au passage que le facteur génétique et héréditaire est un des facteurs à prendre en considération. « Dans 77% des cas où les deux parents ont une histoire avec cette maladie, les enfants sont énurétiques ». Bref, statistiques à l’appui, résultats de recherches scientifiques sérieuses, la conférencière a indiqué que l’énurésie touche plus de 15% des enfants de plus de cinq ans et est fréquente notamment chez les enfants de sexe masculin. La prévalence de ce symptôme chez les enfants de plus de 8 ans est de 6%, alors qu’elle est de 1 à 2 % chez les adolescents. Selon des études réalisées au Royaume-Uni, l’énurésie est la maladie chronique la plus répandue après l’asthme, affectant plus d’un demi-million des 5-16 ans.
Lire l’intégralité de l’article sur Reporters
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Portez-vous bien
Françoise Soros

Quelle est la différence entre fuites et incontinence urinaire


Incontinence et fuites urinaires, est-ce le même symptôme ?

Entretien avec Le Professeur François Haab, Chef de service d’Urologie qui répond ici à cette question.

Bonne lecture
Portez-vous bien
Françoise Soros

Enurésie : « Les monstres en dessous »


L’énurésie est un trouble du contrôle de la miction et non de la miction elle-même. L’énurésie est à la fois un symptôme et un état pathologique. Les garçons  sont plus touchés par l’énurésie nocturne que les filles en atteignant une prévalence estimée entre 6 % et 10% à l’âge de 7 ans. Sa fréquence baisse entre 1 et 2% chez les jeunes de 15 ans.

Aussi, ce livre sera une aide considérable pour les parents, enfants dans la compréhension et la gestion de cette problématique.

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Nathan, 11 ans, a un gros secret qui lui pèse lourd sur le cœur : il fait pipi au lit, presque toutes les nuits… Gêné parce qu’il se pense trop «vieux» pour avoir de tels accidents nocturnes, il n’en parle pas à sa mère. Pour éviter qu’elle s’en rende compte, il cache les draps souillés et des sacs de plastique sous son lit, mais ceux-ci semblent parfois prendre vie et se transformer en monstres… Une belle histoire qui traite avec beaucoup de sensibilité, une touche d’humour et beaucoup d’imagination… un sujet qui tracasse beaucoup d’enfants : l’énurésie nocturne.

En voici quelques passages :
– Chapitre 8 : Ce qui devait arriver se produit une fois de plus. Ma tragédie se poursuit cette nuit. La fin du monde vient d’arriver. Misère. Je me lève. Je regard mon réveille-matin. Le 3, 4 et 5 brillent. 3 h 45 donc. Je suis au beau milieu de ma nuit et c’est une fois de plus la sensation chaude et anormale qui me réveille. Je me souviens subitement que je n’avais pas mis de sacs de plastique. Mon drap-housse est tout trempé. C’est une catastrophe, encore plus que les autres nuits.

Je fais une boule avec mon drap et je rejoue aux quilles. Rituel habituel : direction salle de bains pour y laver mon caleçon. savon à vaisselle pour ne pas que ma mère se rende compte que la quantité de savon à lessive a diminué. Me laver les cuisses. Enfiler un sous-vêtement propre. Et revenir dans ma chambre en marchant sur la pointe des pieds pour éviter que ma mère qui dort un étage plus bas ne se réveille.

De retour dans ma chambre, toutefois, je surprends des tentacules de draps envahir le dessous de mon lit et serpenter jusqu’à mes pieds nus ..

Bonne lecture
Voici les références du livre « Les Monstres en dessous »:
–  » Auteur : Simon Boulerice
Éditeur: Montréal : Québec Amérique, 2013.
Collection : Gulliver Jeunesse

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Françoise Soros

Incontinence urinaire et sexualité au féminin masculin


Les troubles urinaires, puisqu’ils touchent les parties génitales peuvent avoir des incidences sur les rapports sexuels, en particulier l’incontinence urinaire. Souffrir d’incontinence urinaire lors d’un rapport sexuel peut provenir de plusieurs origines :

1. En premier lieu, elle peut être le résultat d’une insuffisance sphinctérienne liée à une incontinence d’effort. La pression urétrale défaillante, dans le cas d’une incontinence d’effort, empêche le maintien du canal de l’urètre fermé lors d’efforts, c’est la raison pour laquelle changer de position lors d’un rapport sexuel ou l’acte de pénétration seul peut provoquer des fuites urinaires.
2. En second lieu, elle peut provenir d’une contraction anarchique du muscle de la vessie, appelé détrusor, cette contraction est due à l’émotion qui peut provoquer l’incontinence par instabilité vésicale. 
3. Enfin, il existe des cas limités de fuites qui surviennent au moment de l’orgasme, c’est ce qu’on appelle un paroxysme émotionnel, tout comme la peur ou le fou rire peuvent provoquer une perte partielle du contrôle du cerveau sur certaines parties du corps, incluant le contrôle de la vessie.

De plus l’incontinence urinaire peut également provoquer un blocage psychologique. Ainsi, chez certains hommes qui souffrent d’incontinence urinaire consécutivement à une opération de la prostate, quelques-uns sont trop honteux pour avoir des relations sexuelles, de peur de laisser s’écouler de l’urine dans le vagin de leur partenaire. Ces hommes souffrent alors d’un blocage et n’osent que très rarement en parler, ne serait-ce qu’à leur épouse.

Pour les femmes, la situation est similaire, avoir une fuite urinaire pendant l’acte sexuel peut s’avérer très incommodant, à la fois pour elle et pour son partenaire. Certaines femmes croient alors, et à tort, souffrir d’un blocage sexuel. Ce n’est en fait pas du tout le cas, puisqu’il s’agit simplement d’une réticence due à la crainte d’une fuite urinaire. Le fait est que la paroi avant du vagin est très proche de l’urètre, le canal par où s’écoule l’urine. Le pénis, durant la pénétration, stimule cette région et la fait gonfler, car excitée. L’effet indésirable apparaissant alors est un faux besoin d’uriner. Cela est simplement le signe d’une excitation au plus haut degré. Il n’est donc pas conseillé d’arrêter ou d’interrompre l’acte sexuel, mais bien au contraire de continuer jusqu’à la jouissance car ce faux besoin d’uriner indique la jouissance proche. Et pour celles qui ont encore un doute, il suffit d’uriner avant l’acte afin de vider complètement la vessie.

Les conséquences d’une incontinence urinaire pendant les relations sexuelles peuvent être dramatiques. La plupart des femmes ont évidemment honte et ont l’impression d’être salie, de ne plus être désirable voire même d’être malodorante. C’est pourquoi il est important de bénéficier d’un suivi à la fois psychologique et sexologique. D’autant que l’incontinence est très souvent associée au vieillissement, ce qui provoque chez certaines femmes un sentiment de honte, elles ne se sentent plus féminines. Il faut donc en parler, avec ses proches si possible, ou sinon se rendre dans des associations spécialisées afin d’éviter à tout prix le repli sur soi, résultat de la peur du regard des autres.

Le dialogue est donc primordial lorsqu’on souffre d’incontinence urinaire lors des relations sexuelles. Bien sûr, il n’est pas facile d’en parler avec quiconque, car le sujet est particulièrement intime, et on se sent honteux. Un médecin représente donc l’interlocuteur préféré, il est là pour dédramatiser et conseiller, le premier conseil à donner, c’est d’uriner juste avant un rapport sexuel. Un médecin pourra également diagnostiquer la cause de l’incontinence, à condition toutefois d’en parler suffisamment tôt avec lui. Et pour celles qui n’avaient pas eu de réponse adaptée ou de traitement approprié il y a quelques années, n’hésitez pas à consulter à nouveau car les progrès médicaux pour traiter l’incontinence sont réels. Il est tout à fait possible de retrouver un appareil urinaire efficace et compatible avec une vie amoureuse. La première chose à faire, c’est bel et bien d’oser en parler !

L’urine peut paraître sale alors qu’en fait elle ne l’est pas du tout, c’est un liquide stérile, parfaitement propre. Elle aide d’ailleurs à nettoyer l’urètre, après un rapport sexuel, et à le débarrasser d’éventuelles bactéries qui seraient apparues. Ces bactéries, si elles ne sont pas éliminées, vont remonter dans la vessie, se développer et provoquer une infection. C’est pourquoi il est nécessaire d’uriner après un rapport sexuel, même si le besoin ne se fait pas ressentir : c’est une mesure d’hygiène importante, loin d’être romantique mais indispensable. Car des infections urinaires récurrentes vont amoindrir le désir et l’envie de faire l’amour.

Pour celles qui font l’amour et afin d’éviter les accidents au cours des rapports sexuels, des solutions simples existent, il suffit de vider la vessie avant un rapport, de privilégier les changements de position lents, de ne pas hésiter à consulter un urologue qui pourra prescrire un traitement médicamenteux. Il est également possible de faire de la rééducation et des exercices pour renforcer le périnée. Enfin et avant toute chose, discuter de l’incontinence, de ses conséquences, des sentiments éprouvés, des peurs ressenties est un moyen indispensable et incontournable de gérer ce trouble.

Merci pour votre visite et à bientôt

Françoise Soros

Source : Un autre regard sur l’incontinence

 

 

Qu’est-ce qu’une rectocèle ?


Dans le terme « rectocèle« , nous trouvons le prefixe « rect » en référence au rectum et le  suffixe « cèle » signifiant cavité, hernie. Une rectocèle est donc une hernie du rectum.
La rectocèle survient essentiellement chez la femme et se manifeste par une saillie plus ou moins importante au niveau de la vulve. La constatation d’une rectocèle de petite taille (moins de 2,5 cm) est courante et sans aucune gêne fonctionnelle.
Cette distension de la paroi vaginale est décelée par l’examen clinique et aussi par la patiente elle-même. Cette  hernie provoque une poussée en avant (protrusion) de la paroi vaginale postérieure (appelée aussi colpocèle postérieure).

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Françoise Soros

 

Des envies pressantes ! Que peut-on faire ?


Urgence, envies pressantes, urgenturie, impériosité, des termes qui conduisent au même résultat : « un besoin brusque et difficilement contrôlable d’uriner ». Forme bien particulière d’incontinence urinaire.

Voici un article qui vient de paraître de Jean-Yves Nau. Dans lequel, il explique  le fonctionnement de ce symptôme appelé aussi « hyperactivité vésicale ». Vous y trouverez des conseils pour gérer plus facilement votre quotidien.
Lire l’article de Jean-Yves Nau  :  Que faire en cas d’envies pressantes

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Françoise Soros