Tester son débit urinaire avec Minze


Vous retenir d’uriner pendant un certain temps, avant de vous rendre chez un urologue, afin de connaître son avis sur votre jet urinaire, c’est complètement dépassé grâce à Minze HomeFlow. Cette innovation de la start-up anversoise Minze Health représente une percée en urologie que le corps médical attendait depuis longtemps.

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De quoi s’agit-il ? Du test du débit urinaire, par lequel l’urologue contrôle la façon dont un patient urine. Le jet est-il puissant ? S’interrompt-il parfois ? Voilà pourquoi les patients doivent attendre, la vessie pleine, dans une salle d’attente, avant de pouvoir à leur tour uriner dans l’indicateur de débit urinaire. C’est loin d’être idéal, affirme Vermeulen : « Personne n’apprécie d’uriner sur commande, surtout pas les personnes qui ont des problèmes urinaires. En outre, le médecin ne dispose que d’un enregistrement momentané d’une émission urinaire. Il tente ensuite d’en savoir plus en demandant au patient de tenir à jour un journal urinaire, mais souvent, cela manque de précision et cela devient vite quasiment inutilisable. Nombre de médecins ne s’y fient donc guère. »

Et voici que débarque l’HomeFlow, l’appareil pour flux urinaire que Minze a conçu et qui permet au patient de mesurer chez lui plusieurs jets urinaires. Vermeulen : « Après avoir uriné, toutes les données sont transférées au smartphone de l’utilisateur qui peut encore indiquer s’il a ressenti une envie pressante, ce qu’il a bu au préalable et s’il y a eu avant éventuellement une perte urinaire.

Lire l’intégralité de l’article sur Datanews

Bonne lecture et à très bientôt 

Françoise Soros

De la peinture anti-pipi sur les murs


Il n’en peut plus. « Tout est dégueulasse dans le quartier », s’exclame Xavier Delaporte, 31 ans. Installé rue du poteau (18e arrondissement), près du boulevard Ney, ce publicitaire s’insurge contre ceux qui urinent contre les murs. De jour comme de nuit. « Des gens ivres et désœuvrés achètent leurs bières dès le matin et pissent contre les murs et la devanture du supermarché », indique-t-il.

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 La personne qui s’aventure à faire pipi, voit son urine ricocher

« Je reprends simplement un concept qui existe déjà et a fait ses preuves à Hambourg en Allemagne », explique-t-il. Plutôt qu’« une approche répressive, voici une solution dissuasive », selon lui : Recouvrir les murs les plus exposés à ces problèmes d’urine sauvage d’une couche de peinture hydrophobe qui renvoie tout ce qui est liquide. « La personne qui s’aventure à faire pipi, voit son urine ricocher et arroser son pantalon », détaille-t-il.

Lire l’intégralité de l’article sur 20minutes : http://www.20minutes.fr/paris/1778691-20160202-paris-excede-propose-mairie-recouvrir-murs-peinture-renvoie-urine

Bonne lecture et à bientôt
Françoise Soros

 

Justice rendue à l’allemand qui pisse debout


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« Si l’homme pisse debout, c’est pour écouter le chant de la fontaine sur la faïence »
C’est, en substance, ce qu’a estimé le tribunal de Düsseldorf, en Allemagne, saisi par un homme qui avait vu sa caution amputée par le propriétaire de son appartement au motif que son pipi avait attaqué le carrelage des toilettes.
Le locataire entendait récupérer la totalité de sa garantie, soit 3000 euros, diminuée de 1900 euros par son propriétaire qui estimait que le sol avait été endommagé par des éclaboussures d’urine.
Si le président du tribunal a certes convenu que c’était bien l’acide urique qui avait attaqué la pierre du sol, il a défendu le droit du requérant à faire ses besoins sans s’asseoir.
« Uriner debout est, de fait, une pratique encore fort répandue » écrit avec une immense sagesse le juge.
Bref, une décision qui honore la justice des hommes.

Portez-vous bien et à bientôt
Françoise Soros

Source : journal Libération du 28.01.15
Photo : pixabay

Adamus – Pissoirs de poche pour uriner sur la voie publique sans polluer


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Vous connaissez déjà « le « pisse-debout », ce cône en papier qui permet aux filles de se soulager leurs envies pressantes de faire pipi sans avoir besoin de s’accroupir.

Une entreprise allemande Adamus Group propose un nouveau concept, les « pissoirs de poche » à glisser dans toutes les boîtes à gants.

Les pissoirs portables existent en trois versions: pour les femmes, les hommes et les enfants. Les poches mesurent environ 40 centimètres de long et sont constituées d’une matière synthétique colorée. Elles contiennent un gel qui solidifie l’urine et qui neutralise l’odeur en quelques minutes.

Si vous êtes intéressés par ce concept, voici l’article qui en parle sur 20min.ch

Bonne lecture
Portez-vous bien et à bientôt
Françoise Soros

Incontinence : Impact de la nycturie sur la qualité de vie des patients


La nycturie est le besoin d’uriner réveillant le patient.
C’est une affection souvent banalisée qui, bien qu’elle soit courante, est cependant gênante.
Elle doit être différenciée de la « fréquence mictionnelle nocturne » qui correspond à la totalité des mictions nocturnes à partir du moment où l’on se couche mais ceci sans tenir compte de la notion de réveil. Chaque miction étant précédée et suivie par une période de sommeil. 

Selon Urofrance : « La nycturie est définie comme la plainte d’un patient d’avoir à se réveiller une ou plusieurs fois au cours de la nuit pour uriner, chaque miction étant précédée et suivie d’une période de sommeil. La conséquence directe de la nycturie est la perte de qualité du sommeil.

Lors du 29ème Congrès de l’European Association of Urology (EAU 14) qui se passe actuellement à Stockhlom , de nouveaux éléments indiquent une influence défavorable de la nycturie sur la qualité de vie des patients. Effet qui s’accentue en fonction de la gravité de l’affection.

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Les personnes souffrant de nycturie estiment que la perturbation du sommeil est le symptôme le plus gênant. Près d’un tiers de ces personnes sont incapable de retrouver le sommeil après avoir uriné.

La prévalence de la nycturie est estimée à :

  • 77 % chez les hommes et les femmes âgés de 60 à 80 ans.

D’où la nécessité de ne pas banaliser ce symptôme, de le reconnaître et le traiter en conséquence.
Sources : AFP

Pour en savoir plus :

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Françoise Soros

Besoin urgent de faire pipi : que peut-on faire ?


« La vie m’a appris une chose : quand il y a urgence, il faut parfois savoir ne pas se presser. » [ Christian Blanc ]

Pour rejoindre la citation de Christian Blanc, j’ajouterais qu’il est « tout à fait possible de mieux gérer la situation » et nous allons voir comment.

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Deux contextes sont cependant différents dans cette situation à savoir :

  • Etre à l’extérieur
  • Etre chez soi

La possibilité de mieux gérer de façon active ces besoins urgents peut s’acquérir, en dehors d’une instabilité vésicale qui se manifeste par une urgence mictionnelle avec mictions fréquentes (plus de 8 fois/24h), incontinence et besoin de se lever la nuit pour uriner.

1- Peut-on à la maison, gérer ces envies pressantes ?

Le chez-soi est un lieu où l’on devrait se sentir en sécurité or la « vessie » a besoin d’être dans un climat de confiance et de sérénité pour bien fonctionner (en dehors de tout contexte organique). Le stress, l’inquiétude, le fait de ne pas prendre son temps pour aller aux toilettes, etc sont des facteurs favorisant les envies pressantes.

La vessie est un organe qui « pompe » toutes nos émotions.

Oui, il est possible de lutter contre ces besoins urgents  :

  • Par exemple ne pas se dire « je n’ai pas le temps, j’irai plus tard ». Il arrivera un moment où la vessie sera comme une « montgolfière » et alors là, vous ne pourrez pas retenir !
  • Eviter de boire des quantités de liquides importantes. Il est préférable de boire souvent dans la journée par petites quantités. Siroter votre eau plutôt que boire à la bouteille.
  • Si malgré tout, une envie pressante survenait, pas de panique, vous êtes chez vous. Respirez un bon coup, si besoin est, asseyez-vous et vous verrez que votre vessie sera à même de vous écouter. Elle se calmera quelques instants, le temps de vous permettre d’arriver aux toilettes.

Surtout ne vous précipitez pas au pipi-room car plus vous allez vous énerver, plus la vessie va suivre votre rythme. Et là, risque d’inondation !

2- Peut-on à l’extérieur, gérer ces envies pressantes ?

C’est un combat un peu plus difficile. Vous êtes dans l’angoisse de la fuite à la recherche d’endroits pour soulager vos envies.

  • Y a t-il des toilettes à cet endroit ? Vont-elles être à peu près propres ?
  • Vais-je avoir le temps d’y arriver ? Pleins d’interrogations vous envahissent.

Aussi pour réussir à gérer vous confronter à l’extérieur sans trop de difficultés, il est bon de vous entrainer à la maison calmement. Ne pas retenir trop longtemps, respirer…

Et si besoin, une rééducation périnéale chez un kinésithérapeute spécialisé pourra vous aider à franchir le cap.

Le syndrôme du « paillasson » ou celui de la clef (envies urgentes accentuées en arrivant chez soi) ne seront plus qu’un mauvais souvenir.

Pour vous aider, il existe une application pour smartphone qui répertorie les différentes toilettes de votre ville : « Où sont les toilettes ? » (Toilet Finder) en téléchargement sur Softonic

Tenez-bon. Vous allez y arriver !

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Merci pour votre visite et excellente journée 
Françoise Soros