Vidéo – Un camion anti-pipi en Inde


Un groupe anti-pipi a été formé en Inde pour punir les hommes qui soulageraient leur vessie contre les murs de la ville. Il s’agit d’un camion équipé d’une lance d’arrosage qui inonde sans merci la moindre personne entrain d’uriner. Attention, Messieurs, si ce système devait arriver chez nous !

Merci pour visite et à bientôt

Françoise Soros

Un golden snapper de 37 kg vendu 38000 dollars pour la saveur de sa vessie !


Bangladesh – Insolite et inouï, quand on sait qu’il y a des milliers de personnes qui « crèvent  « la faim !

38000 dollars, c’est la somme déboursée par un riche homme d’affaires chinois juste pour un poisson.

Image

Le golden Snapper

Ce poisson rare a été acheté auprès de pêcheurs revenus du Golfe du Bengale. lors d’une enchère autour de 500 acheteurs potentiels.

Et tout cela, pour un poisson énorme de couleur dorée, pour « la saveur de sa vessie et la succulence de sa chair » !

« Selon le professeur de zoologie Noman Siddi, de l’Académie de la pêche marine à Chittagong, la rareté de ce golden snapper tient à sa couleur, dorée, alors que ces poissons sont le plus souvent rouges ou argentés. « Il n’y a que trois ou quatre » poissons de ce type dotés d’écailles dorées qui sont péchés dans le Golfe du Bengale chaque année, a-t-il expliqué. Une pêche miraculeuse donc. »**

Conclusion faite, je crois que je préfère celui qui boit son urine (urinothérapie) que ce Chinois qui n’hésite pas à dépenser une telle somme juste pour le plaisir. Combien de dollars auraient plus aider ces pauvres habitants du Bangladesh. C’est le monde à l’envers ! 

Et ces petits poissons en chocolat, ce n’est pas mieux ?

Bonnes fêtes de Pâques !

Merci pour votre visite et à bientôt
Françoise Soros

Lecture conseillée :

Impériosité. Paroles de patiente et de dentiste


Il y a des fois où les mots entendus dans son cabinet (pas celui où l’on fait la pause-pipi) valent réflexion !

Image

C’est le cas d’une patiente qui vient en rééducation périnéale pour un problème d’impériosité (envies pressantes).

5 séances se sont écoulées et je lui demande :

  • Moi : Madame JJJJJ, comment allez-vous ? Avez-vous été ennuyée depuis la dernière séance ?
  • La patiente : Tout va bien, plus de problème. Je gère.
  • Moi : mais c’est très bien. Mais comme ça, d’un seul coup ?
  • La patiente : je me suis fait enlevé une dent et depuis je n’ai plus de problème
  • Moi : c’est étonnant mais que dit votre dentiste ?
  • La patiente : il ne comprend pas

Mais alors, quel est le rapport, s’il y en a un, entre une dent en moins et les impériosités ? Pas de réponse pour le moment. Alors, comme on dit « ça lui a coupé la chique ».
En attendant, la patiente est ravie mais comme il lui reste encore 5 séances à faire, elle préfère cependant, les terminer. Au cas où !

Conclusion
Si vous avez des envies pressantes d’uriner, allez-vous faire enlever une dent, c’est radical.
Et si cela n’était pas suffisant, n’hésitez-pas, pour une autre dent.

Merci pour votre passage et excellente journée
Françoise Soros

The Pee Analyser : tu as trop bu, l’urinoir te bloque !


Le gouvernement de Singapour a mis en place ce procédé équipé d’un capteur qui détecte les fêtards un peu trop alcoolisés.

Image

Chaque client qui arrive en voiture à la boîte de nuit dépose ses clefs. En échange, on lui fournit :

  • une carte personnelle RIFD ( radio frequency identification) sous forme de badge
  • un détecteur d’alcoolémie placé dans l’urinoir
  • un lecteur de carte à la sortie

Faut-il bien entendu que le client pense à aller uriner de temps en temps mais l’alcool agissant, il serait étonnant, qu’il puisse se retenir !

Lorsque le client se dirige vers la sortie de la boîte de nuit, il est amené à déposer sa carte sur le lecteur. Et surprise, soit il peut sortir en toute tranquillité soit il ne peut pas reprendre sa voiture. Dans ce dernier cas, un taxi ou un service de retour à domicile proposé par l’établissement, lui sera proposé.

Géniale cette idée ! Mais est-ce que cela existe en France, pas certaine.

Le Pee Analyser en action : 

Articles conseillés :

Bonne lecture

Et merci pour votre passage

Françoise Soros

Le Méridien de la vessie


Le méridien de la vessie est lié à l’élément eau et à la saison hiver. Le méridien de la vessie est relié au méridien du rein. Son heure optimale de fonctionnement est entre 15 et 17h.
Il débute sur le coin interne de l’oeil nommé « yeux brillants » poursuit sa route au niveau de la tête, puis le long de la colonne vertébrale et se termine au niveau du petit orteil du pied (appelé extrémité du yin).
Passant dans tout le dos et l’ensemble de la colonne vertébrale, ce méridien est relié à grand nombres d’organes.
Son rôle est de purifier les liquides, phase finale de transformation des liquides.
Ce méridien est relié au sentiment de peur.

Image

Le méridien de la vessie

En cas de dysharmonie, la personne peut éprouver de la jalousie, de la suspicion et/ou des troubles psychiques.

Ce méridien contient nos mémoires ancestrales et les vieux schémas de pensées que nous devons lâcher. Il est en phase avec la rigueur, la décision, le sens de l’écoute, la fécondité…
Le méridien de la vessie est relié aux os, à la moelle ainsi qu’aux oreilles.

D’un point de vue physique, un désordre le long du méridien engendre troubles urinaires ou visuels, maux de tête, douleurs à la colonne vertébrale, douleurs au nez…

Pour en savoir plus 

Articles complémentaires :

Merci pour votre passage et excellente journée 

Françoise Soros

Besoin urgent de faire pipi : que peut-on faire ?


« La vie m’a appris une chose : quand il y a urgence, il faut parfois savoir ne pas se presser. » [ Christian Blanc ]

Pour rejoindre la citation de Christian Blanc, j’ajouterais qu’il est « tout à fait possible de mieux gérer la situation » et nous allons voir comment.

4323354654_dbd1c680ee_n

Deux contextes sont cependant différents dans cette situation à savoir :

  • Etre à l’extérieur
  • Etre chez soi

La possibilité de mieux gérer de façon active ces besoins urgents peut s’acquérir, en dehors d’une instabilité vésicale qui se manifeste par une urgence mictionnelle avec mictions fréquentes (plus de 8 fois/24h), incontinence et besoin de se lever la nuit pour uriner.

1- Peut-on à la maison, gérer ces envies pressantes ?

Le chez-soi est un lieu où l’on devrait se sentir en sécurité or la « vessie » a besoin d’être dans un climat de confiance et de sérénité pour bien fonctionner (en dehors de tout contexte organique). Le stress, l’inquiétude, le fait de ne pas prendre son temps pour aller aux toilettes, etc sont des facteurs favorisant les envies pressantes.

La vessie est un organe qui « pompe » toutes nos émotions.

Oui, il est possible de lutter contre ces besoins urgents  :

  • Par exemple ne pas se dire « je n’ai pas le temps, j’irai plus tard ». Il arrivera un moment où la vessie sera comme une « montgolfière » et alors là, vous ne pourrez pas retenir !
  • Eviter de boire des quantités de liquides importantes. Il est préférable de boire souvent dans la journée par petites quantités. Siroter votre eau plutôt que boire à la bouteille.
  • Si malgré tout, une envie pressante survenait, pas de panique, vous êtes chez vous. Respirez un bon coup, si besoin est, asseyez-vous et vous verrez que votre vessie sera à même de vous écouter. Elle se calmera quelques instants, le temps de vous permettre d’arriver aux toilettes.

Surtout ne vous précipitez pas au pipi-room car plus vous allez vous énerver, plus la vessie va suivre votre rythme. Et là, risque d’inondation !

2- Peut-on à l’extérieur, gérer ces envies pressantes ?

C’est un combat un peu plus difficile. Vous êtes dans l’angoisse de la fuite à la recherche d’endroits pour soulager vos envies.

  • Y a t-il des toilettes à cet endroit ? Vont-elles être à peu près propres ?
  • Vais-je avoir le temps d’y arriver ? Pleins d’interrogations vous envahissent.

Aussi pour réussir à gérer vous confronter à l’extérieur sans trop de difficultés, il est bon de vous entrainer à la maison calmement. Ne pas retenir trop longtemps, respirer…

Et si besoin, une rééducation périnéale chez un kinésithérapeute spécialisé pourra vous aider à franchir le cap.

Le syndrôme du « paillasson » ou celui de la clef (envies urgentes accentuées en arrivant chez soi) ne seront plus qu’un mauvais souvenir.

Pour vous aider, il existe une application pour smartphone qui répertorie les différentes toilettes de votre ville : « Où sont les toilettes ? » (Toilet Finder) en téléchargement sur Softonic

Tenez-bon. Vous allez y arriver !

Articles complémentaires  :

Merci pour votre visite et excellente journée 
Françoise Soros

 

Cancer de la vessie


Cancer de la vessie (Cours infirmier) 

La paroi interne de la vessie est tapissée de cellules transitionnelles qui sont à l’origine de la plupart des cancers de la vessie. L’évolution et la prise en charge dépendent beaucoup du caractère invasif de la tumeur. On distingue le cancer superficiel de la vessie du cancer invasif.

Épidémiologie

Incidence

Le cancer de la vessie est une tumeur peu fréquente. En 2000, 10700 nouveaux cas ont été diagnostiqués. Elle occupe en France le sixième rang par sa fréquence parmi les cancers.

Mortalité

Il représente 3,5 % des décès par cancer.

Population touchée

L’âge moyen est de 65 ans. Il touche 4 hommes pour 1 femme, mais ce taux évolue au fur et à mesure que d’impact du tabagisme chez la femme se fait sentir.

Facteurs de risque

Les facteurs favorisants les plus importants sont le tabac et certains carcinogènes chimiques. A ce titre le cancer de la vessie peut être considéré comme une maladie professionnelle.

Les principales substances industrielles en cause sont :

  • les amines aromatiques
  • leurs dérivés hydroxylés halogénés et sulfonés. (tableau français n°15 des maladies professionnelles)
  • les dérivés de l’aniline
  • certains hydrocarbures polycycliques
  • les dérivés industriels du tryptophane

Par ailleurs on retrouve à l’origine du cancer de la vessie certains médicaments (phénacétine, cyclophosphamide) ou un irradiation pelvienne. Les lésions de bilharziose urinaire peuvent dégénérer en lésions malignes de type cancer épidermoïde de la vessie. Cette pathologie se retrouve principalement en Égypte et en Afrique de l’Ouest. Il existe également une nephropathie tubulo-intertitielle endémique dans la région des Balkans, qui peut se complique en cancer urothéliale. Cette maladie résulte d’une intoxication alimentaire par une mycotoxine, l’ochratoxine A, produite par un champignon des céréales.

Diagnostic

Symptômes

Les éléments cliniques évoquant une tumeur cancéreuse de la vessie sont peu spécifiques. On note en premier lieu l’hématurie micro ou macroscopique, la dysurie, les signes d’infection urinaire à urine claire, les infections urinaires récidivantes, l’altération de l’état général.

Les symptômes cliniques nécessitent une confirmation biologique avec réalisation

  • d’une bandelette urinaire retrouvant l’hématurie,
  • d’un examen cytologique des urines confirmant la présence d’hématies et de cellules anormales,
  • la cystoscopie est l’examen de choix pour visualiser les lésions vésicales et effectuer dans le même temps des biopsies pour études anatomopathologiques des lésions,
  • les examens d’imageries tel le scanner et l’IRM du bassin sont utile au bilan d’extension.

Bilan d’extension

Le cancer de la vessie se développe à partir de la muqueuse interne de la vessie. En absence de traitement, la maladie s’étend au delà de la muqueuse à travers la paroi de la vessie, dissémine au travers des vaisseaux lymphatiques vers les ganglions du petit bassin, et au travers des veines dans l’ensemble de l’organisme pour former des métastases. Le bilan d’extension permet de connaître le stade exact de la maladie, d’appliquer le traitement le mieux adapté et d’estimer le pronostic de la maladie.

Anatomopathologie

Il existe différents type anatomo-pathologiqques de tumeur maligne de la vessie. Le terme cancer de la vessie correspond au carcinome de la vessie. Il en existe trois formes :

  • le carcinome transitionnel est la forme le plus fréquente. Il représente 90 % des cancer de la vessie.
  • le carcinome épidermoïde est plus rare, il correspond à 7 % des cancers.
  • l’adénocarcinome est plus rare, environ 1 %.

Les lésions non carcinomateuses correspondent aux lymphomes et sarcomes de la vessie dont le traitement diffère des carcinomes…

Consulter l’original

Excellente journée 

Comprendre l’énurésie ou pipi au lit


Le contrôle mictionnel relève d’une acquisition progressive durant les premières années de la vie.

Si la propreté, d’abord diurne puis nocturne, est généralement obtenue vers l’âge de 3 ou 4 ans dans près de 70% des cas, de nombreux enfants présentent des fuites d’urine jusqu’à l’adolescence, voire au-delà.

enuresie

Le passage de l’automatisme vésical du nouveau-né à l’activité vésico-sphinctérienne coordonnée et consciente de l’adulte s’effectue habituellement sans aucun problème.
Cette période n’en demeure pas moins une phase critique, parfois même dangereuse chez certains sujets. Des désordres purement fonctionnels peuvent affecter l’enfant et induire, au-delà d’une certaine limite physiologique, une véritable pathologie, jusqu’ici souvent considérée comme organique et que seules les explorations urodynamiques ont permis d’individualiser.

Il s’agit du syndrome d’immaturité vésicale dont le dénominateur commun clinique est représenté par des troubles mictionnels diurnes et (ou) nocturnes, parfois associés chez la fillette à une infection urinaire basse et dont la réalité urodynamique est la persistance d’une hyperactivité vésicale.

Le syndrome d’immaturité vésicale et ses conséquences.

1- Définition
Ce syndrome correspond à la persistance d’une vessie de type infantile automatique, responsable de besoins fréquents mais en ce sens différent que l’enfant cherche maintenant à retenir ses urines.
2- Les signes cliniques
Ce sont des troubles de la continence diurne et nocturne.

 Les troubles mictionnels diurnes sont évocateurs.

Ils sont retrouvés par l’interrogatoire de l’enfant et de l’entourage.
Il s’agit d’une impériosité , d’une pollakiurie et de petites fuites d’urine, responsable de la classique « culotte mouillée ».

  •  la forme « pollakiuriante » :

L’enfant soumis à un besoin impérieux est obligé d’uriner. Il atteint difficilement les toilettes et perd quelques gouttes en chemin. Il développe souvent un véritable automatisme d’où est exclu cet effort de retenue volontaire qui empêche ou retarde l’acquisition de la propreté diurne et entretient la pollakiurie.
Certaines circonstances de la vie sociale de l’enfant (trajets en voiture, mise à l’école…) imposent des rythmes de miction souvent différents des rythmes spontanés, liés aux contractions vésicales non inhibées. L’enfant est alors conduit à un tel effort de retenue qu’il va, avec plus ou moins de facilité, apprendre à éviter la fuite en contractant souvent, au-delà du raisonnable, son plancher pelvien. Ce type de situation explique souvent le caractère secondaire des troubles… alors qu’à la maison tout se passait bien, l’enfant pouvant satisfaire son besoin !

  •  la forme « rétentionniste » :

A force de retenir, certains enfants développent une hypertonie sphinctérienne striée et deviennent rétentionnistes. La vessie augmente sa capacité et ne se vide qu’une ou deux fois par 24 heures . Cette forme est presque toujours le fait d’une mauvaise éducation vésicale et mictionnelle chez des enfants au départ spontanément pollakiuriques.

 Les troubles mictionnels nocturnes : l’énurésie nocturne

Ce qui se passe le jour au niveau du détrusor, soumis à une hyperactivité non ou insuffisamment inhibée, se poursuit la nuit. Mais l’enfant endormi, l’impériosité et le besoin ne suffisent pas toujours à le réveiller. La vigilance, responsable de la réaction sphinctérienne, fait défaut et l’hyperactivité vésicale entraîne … l’inondation.
De nombreux auteurs ont insisté sur le caractère profond du sommeil des enfants énurétiques. C’est évidemment un élément supplémentaire qui ne peut qu’aggraver cet état d’immaturité vésicale sous la forme d’énurésie nocturne. Ceci ne veut évidemment pas dire que toutes les énurésies relèvent d’une immaturité vésicale mais lorsqu’elles sont associées à ces signes diurnes, il est tout-à-fait possible qu’elles fassent partie intégrante du tableau d’immaturité. Elles sont alors accessibles au traitement commun anticholinergique.

Les possibilités thérapeutiques

Il n’y a bien entendu pas de traitement curateur absolu de l’immaturité vésicale. Seul le temps permet l’organisation progressive des mécanismes du contrôle mictionnel par inhibition des centres supra-médullaires tenant sous leur dépendance l’hyperactivité.

  •  Le traitement pharmacologique anticholinergique

L’hyperactivité vésicale est sous une dépendance pharmacologique de type cholinergique. Elle sera tout naturellement combattue par des drogues anticholinergiques. Traiter l’hyperactivité du détrusor revient à réduire l’amplitude de ses contractions non inhibées. Les conséquences sont évidentes. Le jour, l’hypersensibilité contemporaine des pics de pression et responsable des impériosités et des fuites, diminue. L’enfant peut ainsi accroître sa capacité vésicale. Il réduit parallèlement sa pollakiurie et permet à sa vessie de franchir le cap d’une nuit sans perte d’urine.

  •  La rééducation ou l’éducation vésicale

Suivant le type d’expression clinique de l’immaturité, les conseils seront différents.
Aux formes pollakiurantes, on demandera d’essayer de résister dans la mesure du possible aux besoins et d’espacer les mictions : ce qui aura à terme, l’effet d’augmenter la capacité vésicale. Dans tous les cas, on insistera sur l’absolue nécessité d’effectuer des mictions sans forcer, avec un maximum de relâchement périnéal.

A l’opposé, et surtout pour lutter contre l’infection urinaire, on suggérera aux enfants à tendance rétentionniste d’augmenter leur fréquence mictionnelle.

Un carnet régulièrement tenu, la participation de l’entourage familial ou scolaire arrivent très souvent à régler le problème.
Dans tous les cas, le recours aux techniques de biofeedback est toujours bénéfique mais ce type de rééducation ne s’adresse qu’à des enfants suffisamment grands et motivés auxquels l’on aura su expliquer le caractère fonctionnel de leur trouble.

… Ne pas oublier enfin que le temps est un Maître, et que lui seul permet de régler le problème à terme… car le seul traitement de l’immaturité est l’acquisition progressive de la maturation vésicale.

Merci pour votre visite et excellente journée

Françoise Soros

Sources :
Réf. Averous M. : Le syndrome d’immaturité vésicale J.Uro